Sur la route des Tziganes

Sur la route des Tziganes

Par Gilles Avisse – Journaliste à Paris mômes

« L’histoire émouvante d’un peuple autour du monde. « Il y a fort longtemps dans une région du nord de l’Inde vivait un clan qu’on appellerait plus tard les tziganes ». Susurrés à l’avant-scène par une conteuse à la voix envoûtante et au regard magnétique, ces quelques mots sont le point de départ d’un conte magique et d’une fantastique épopée autour du monde. Car tandis que virevoltent les robes et claquent les mains des deux danseuses au son des accords joyeux ou plaintifs des cinq musiciens du groupe O’djila, se joue, sous nos yeux, l’émouvante histoire de tout un peuple en perpétuel exode. »

 

 

 

" Elle arrive dans ses falbalas multicolores et retrace, sous forme de conte, la longue route qui mena les Tziganes de l'Inde du Nord à la Russie, aux Balkans et à l'Andalousie. Elle n'est pas seule : une danseuse et un groupe de cinq musiciens l'accompagnent. Vraie danseuse et vrais musiciens, en l'occurrence le groupe O'djila qui a composé de belles ballades et chansons pour ce spectacle rythmé, sans temps mort, drôle parfois, et qui ne prend pas les enfants pour des sots. "

Le Nouvel Obs. - Olivier Bailly

" Cette épopée musicale plaît à tous les âges. Qu'elle soit Flamenco ou manouche, la guitare est bien grattée, la danseuse envoûtée et nos soucis envolés. Cinquante minutes de bonheur assuré. Un conseil, amenez de quoi vous clouer au fauteuil, on a bien du mal à ne pas en bouger. "

France Bleu Vaucluse

" C'est au fil des nuages qu'ils suivirent la route des tziganes, et celle de leurs richesses musicales, à travers la merveilleuse histoire d'amour de Shaban, prince des roulottes, et de Lluba, fille du Tzar. Depuis l'Inde jusqu'à l'Andalousie, des danses orientales aux pas ardents du flamenco, de chants manouches en litanies gitanes, une épopée magique portée sur l'arc-en-ciel chatoyant des foulards d'une danseuse et d'une conteuse, au rythme des sonorités énergiques du groupe O'djila. "

Vaucluse matin

" Ce conte musical se révèle être un moyen exaltant de découvrir un monde où l'on noie la mélancolie dans la danse et la fête. Ce spectacle déborde de joie de vivre ! Pas étonnant qu'on en ressorte avec quelques taches indélébiles de bonne humeur ! "

Theatre-enfants.com

" Spectacle qui m'a envoûté par ses sonorités enjouées, couleurs lumineuses des robes à fleurs, expressions corporelles vivifiantes, son histoire entre rêve et réel, qui m'a stupéfait par la richesse ethnologique et la variété des moyens d'expressions utilisée… Un petit moment de joie qui donne de l'énergie et du bonheur pour toute la journée. "

Passion-theatre.org - Elena Salvatori

Sur une idée originale de Jean-Baptiste laya

Auteur.e.s : Jean-Baptiste Laya, Clotilde Rullaud et Claude Astier

Mise en scène : Luis Tamayo

Danse : Valentina Casula et Clotilde Rullaud

Conte : Clotilde Rullaud

Musiciens :  O’DJILA : Jean-Baptiste Laya (guitare solo), Laurent Le Gall (contrebasse), Djani Pervan (percussion) et Djordje Knezevic (guitare rythmique), Dusan Vranic (chant)

Costumes : Sania Dzeba

Création lumières : Roland Glasser

Sonorisation : Zakariyya Cammoun

 

Crédits photos : Émilie Bloch, Guillaume Milochau

 

Références scéniques : Festival Les Pestacles du Parc Floral à Paris, Festival d’Avignon, Festival Rio Loco à Toulouse, Festival les Arts Nomades à Mayenne, Festival les couleurs du Jazz à Corbeille Essonne, Festival Les Pipots à Boulogne-sur-Mer, Polymusicales de Bollène, Festival de Châtelaillon-Plage, Festival de Marne Cité de la musique à Paris, Le Carré à Sainte-Maxime, Centre culturel Albert Camus à Issoudum, Théâtre de l’aventure à Ermont,  Salle Jacques Brel à Champs sur Marne, Le Cap à Aulnay Sous Bois, La Cigalière à Bollène, Théâtre de Vichy, Centre culturel de Trith-St-Léger, Auditorium Maurice Ravel à Levallois-Perret, Le Tamanoir à Gennevilliers, Auditorium F. Pelletier à Châlons-en-Champagne, Le 20ème Théâtre à Paris, Le Cap à Aulnay, Scène Delta du Parc Floral à Paris